Par Laurent Perreaux, conférencier littéraire.
La femme durassienne est une « désespérée consentie », une sorte de morte vivante luxueuse et sensuelle. Dans une langue très particulière, très belle. A écouter dite par Jeanne Moreau ou par Delphine Seyrig. L’empereur Hadrien considère sa mort prochaine « les yeux ouverts », et cette mort lui fait entrevoir sa vie et sa place dans le monde différemment. Il est mieux qu'un empereur : il devient un homme. Deux univers, l’un envoûtant, l’autre de haute sagesse. Au total, la littérature.